Comme écrit dans les colonnes du 24heures, suivant un rapport de McKinsey et de la Chambre de commerce Suisse – États-Unis, aidées d’economiesuisse et de SwissHoldings, la Suisse perd de son attractivité auprès des sociétés internationales. Aujourd’hui, il faut constater que la Suisse n’attire plus que 19% de ces sociétés
Category: Emploi
« Aujourd’hui plus que jamais l’employé est à l’entreprise ce que l’employeur est à l’emploi : une composante essentielle. »
La réforme fédérale de l’imposition des entreprises III (sur laquelle le peuple suisse votera le 12 février 2017) est tout comme la réforme cantonale, acceptée en mars 2016 par 87.12% des Vaudoises et des Vaudois : elle est cruciale pour notre canton. Et même une partie de la gauche le reconnait.
L’école fait l’objet d’avis multiples et récurrents, allant de la satisfaction à la critique sévère en passant par toutes les nuances possibles. Ce n’est pas étonnant, tout le monde ayant passé par elle et s’étant formé un avis sur la question. Les réformes et les bilans se succèdent. Il existe
Depuis trois ans, on ne parle que de ça. Bilatérales, libre circulation, emploi et santé économique du pays. Depuis le 9 février 2014, la Suisse est contrainte de revoir complètement le paradigme de ses relations avec l’UE. Entre application stricto sensu ou voie médiane qui ménage à la fois volonté
L’exemple récent de la délocalisation du fabricant de fenêtres Ego Kiefer en Europe (Slovaquie) jette une lumière crue sur ce problème. Du côté des entreprises du secteur des machines, des équipements électroniques et des métaux (industrie MEM), un récent sondage auprès de leurs membres montre qu’avec le maintien du franc
« L’aide aux start-up a le vent en poupe » grâce à l’appui du libéral-radical Fathi Derder. Pour en savoir plus sur la vision PLR de l’innovation, lire l’article du 24heures ci-joint : http://goo.gl/6gS5wA
Jamal Reddani, Economiste d’Entreprise Merck Serono, le coup de semonce! (Article en partie publié dans le n°82 de l’AGEFI) Bref rappel Dans un précédent article (AGEFI du 23.03.2012 bons et mauvais raisonnements), nous nous inquiétions des risques de ne pas pérenniser le cadre du conte de fée économique que nous